Cyberguerre au nom de la liberté d'expression. Près de 200 activistes québécois auraient pris part dans les derniers jours aux attaques informatiques lancées contre les détracteurs du site de coulage d'information WikiLeaks et son créateur, Julian Assange. C'est du moins ce qu'a indiqué hier au Devoir un de ces pirates informatiques engagés, membre d'un groupe international baptisé Anonymous.